Trois types de fondation existent, c’est selon la nature de votre terrain !
Une fois le terrain acquis, une étude du sous-sol est à réaliser. Celle-ci déterminera quel type de fondation sied à votre terrain pour supporter dans le temps votre future construction. Vous pouvez faire appel à un géotechnicien pour effectuer une étude complète et ainsi connaître précisément les caractéristiques de votre sol ; aucune mauvaise surprise ne vous attendra alors !
Qu’est-ce qu’une fondation ?
La fondation d’une maison est un ouvrage supportant, sur un sol, la transmission et la répartition des charges. Différents types de fondation existent selon la nature du terrain et son aptitude à porter la terre.
Les types de fondation
Trois types de fondation existent :
– la fondation superficielle : elle est la plus courante et conseillée pour des sols uniquement stables n’ayant aucun besoin de renforts particuliers. Elle est dite isolée, bien en semelle et filante si posée sous un mur.
– la fondation semi-profonde : des longrines (pièce horizontale destinée à répartir une charge) sont posées sur des plots supportant le poids des murs. Ces longrines sont uniquement fixées sur un terrain stable et un sol profond.
– la fondation profonde : des pieux, des micros pieux, des barrettes ou des parois moulées sont fixés dans des sols uniquement de plus de 8 mètres de profondeur.
Agencement des fondations
– nettoyez de votre terrain la première couche de terre, celle en surface.
– effectuez sur la zone à terrasser un piquetage, ainsi vous y verrez plus clair.
– creusez sur la zone, à une profondeur d’un mètre, 2 rigoles de deux mètres de largeur.
– pour garantir une bonne isolation des armatures et ainsi combattre la rouille, couler du béton dans ces rigoles, sur 10 centimètres de profondeur.
– laissez agir le béton.
– placez les armatures.
– couler les semelles.
